Mark Storm - Space Adventure
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Mark Storm - Space Adventure


 
AccueilPortailGalerieRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Mark Storm - Rêves Fatals - Sortie Officielle fin octobre 2013

SITE OFFICIEL : http://www.mark-storm-space-adventure.com/
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

 

 NOUVELLE A PLUSIEUR

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Le vil flagorneur

Le vil flagorneur


Nombre de messages : 63
Date d'inscription : 28/05/2010

NOUVELLE A PLUSIEUR Empty
MessageSujet: NOUVELLE A PLUSIEUR   NOUVELLE A PLUSIEUR Icon_minitimeVen 28 Mai - 22:36

Bonjour,

j'aimerais savoir si vous accepterez que je mets un nouveau sujet, pour écrir un petit délire à plusieur; Un cadavre exquis comme cela s'apelle.

J'en ai deux sur le forum de mon site, mais comme je viens de l'ouvrir aujourd'hui je ne connais personne.
Revenir en haut Aller en bas
vlana

vlana


Féminin
Nombre de messages : 79
Age : 58
Localisation : Syl, une étrange planète
Date d'inscription : 15/09/2009

NOUVELLE A PLUSIEUR Empty
MessageSujet: Re: NOUVELLE A PLUSIEUR   NOUVELLE A PLUSIEUR Icon_minitimeSam 29 Mai - 12:29

Bonjour !

N'hésites pas à participer à notre petite histoire ici qui est un peu en plan ces derniers temps ! NOUVELLE A PLUSIEUR Icon_rolleyes
Revenir en haut Aller en bas
http://www.syl.vlana.fr/
Le vil flagorneur

Le vil flagorneur


Nombre de messages : 63
Date d'inscription : 28/05/2010

NOUVELLE A PLUSIEUR Empty
MessageSujet: VOICI MON HISTOIRE POUR JOUER   NOUVELLE A PLUSIEUR Icon_minitimeJeu 3 Juin - 20:56

VOILA à vous de porusuivre, par contre c'est écrit petit. Tu ne peux pas le mettre en plus gros SANDY? car je ne sais pas dompter la bête.




LE ROI DE LA FARCE POUR S’EXERCER

Ivan Corallan était un farceur très redouté de ses camarades de classe. Pourvu se disaient-ils, que se ne soit pas moi, qu’il ridiculise aujourd’hui. Effectivement, notre jeune homme de vingt ans en avait sous le chapeau, du moins en ce qui concerne les blagues. Malheureusement à ses dépens, il avait oublié ce vieux proverbe qui dit : « les blagues les plus courtes sont souvent les meilleures ».
Il faut voir les coups du sort qu’il jouait aux autres. J’entends par là, le fait d’étaler du caca de chien sur un papier journal et faire croire au pauvre voisin qu’il y avait le feu. Or, à chaque coup ça n’y manquait pas, le pauvre bougre paniqué, se précipitait hors de chez lui et paf, il mettait le pied dedans. Ou encore n’importe quelles pitreries, qu’il faisait en cours. Allant de l’encre ou des punaises renversées sur une chaise jusqu'à l’inévitable, mais classique boule puante. Ou simplement d’aspergé le sol d’un liquide très glissant, ou encore la dispersion de gaz lacrymogène dans les couloirs.
Oh j’ai failli oublier les nombreux canulars téléphoniques et lettres anonymes de tout genre. Souvent ses appels nocturnes se faisaient insultants, appelant de plus en plus fréquemment la personne jusqu’à la rendre dingue. Il ne se rendait plus compte des limites à ne pas franchir et parfois, oui parfois il allait trop loin. C’est ainsi qu’il avait fait piqué une crise d’hystérie à la pauvre Peggy Orkalmeyer.
Pour ce faire, il s’y était tout bonnement pris en imitant des bruits de cochon. La pauvre très fragile sur le plan psychologique, n’avait pu supporter très longtemps ses allusions, qui la comparaient à l’animal.
« Il fallait voir ça au moins une fois dans sa vie ».
Comme il avait aimé, qu’elle se donne en spectacle de la sorte, hurlant pour ensuite pleurer dans un sanglot interminable.
Ses gags se disait-il, étaient inoffensifs. Si seulement il avait su comme il se trompait, et surtout le châtiment qu’il allait recevoir, je crois qu’il aurait agit différemment.
Mais avant de vous faire une opinion toute faite de notre bonhomme, laissez-moi plutôt vous raconter son histoire.

1

Par un matin d’octobre, notre jeune ami se leva heureux, par la journée qu’il allait passer à se moquer des autres.
Repensant à toutes les piques dont il allait faire usage. Tout en préparant son petit déjeuner, il alluma la radio. La station s’appelait Everything in the Jokes, une sorte de notre « rire et chanson » national. C’était là qu’il puisait tous ses jeux de mots vaseux, qui ne faisaient rire que lui.
Oh je ne me suis pas présenté, alors je vais y remédier je me nomme Chistopher Fergusson. Fergusson est mon nouveau nom. Avant j’étais français, mais mon père a du quitter la France pour des raisons qui resteront secrètes. Je suis étudiant à DUYERSTER, une petite ville dont le nom ne veut rien dire. Là, je n’ai rien à ajouter de particulier, sinon que je suis son meilleur ami et en tant que tel je me dois de raconter son étrange mésaventure.
Voilà qui est fait. A présent que j’ai resituer le contexte, reprenons là, où nous l’avions laisser. C'est-à-dire à la veille de la Toussaint.

Alors que la fête d’Halloween se préparait. Encore une coutume traditionnelle, comme il y en a dans une Amérique puritaine. Soit dit en passant, Ivan et moi étions partis acheter des citrouilles, pour ne pas échapper au rituel. C’est dans un magasin où l’on vend ce genre d’articles que tout commença.
Nous gambadions ensemble joyeux, à travers les rayons remplis de citrouilles. D'ailleurs, c’est là qu’il m’annonça un de ses fameux jeux de mots, qui ont fait sa réputation. Pour le lecteur attentif que vous êtes, je vous remets sa réplique. Alors écoutez bien, non plutôt ouvrez bien vos yeux.
–– « Hé écoute ça mec. Si tu as la trouille vas donc acheter six citrouilles, si trouille ».
C’est nul je sais. Mais pour ne pas le vexer, j’ai fait semblant de rire. Hé figurez-vous, que je ne voulais pas perdre mon seul ami.
Après un temps nous n’avions pas trouvé de citrouilles à notre goût. Il faut dire que nous en voulions une, vraiment horrible à souhait.
Alors que nous nous apprêtâmes à partir, il me tira par la manche.
« –– Regarde là bas !
–– Allons-y ! » Proposais-je d’emblé
Il y avait un vieux monsieur vraiment très étrange. Il ressemblait à un épouvantail humain, habillé d’une vieille salopette orange, d’un chapeau de paille et d’une chemise à carreaux.
Bizarre que je ne l’ai pas remarqué plus tôt, probablement une faute d’inattention. Quoi qu’il en soit nous allâmes vers lui.
Lâchant des yeux la citrouille d’un noir obscure, qu’il était en train de sculpter, il nous dévisagea.
Je n’aimais pas du tout ce regard. Il nous détaillait à la manière d’un croquemort devant deux nouvelles recrues, puis il se remit au travail sans dire un mot.
Ivan était fasciné par ses œuvres. En effet, toutes les citrouilles qu’il avait fabriqué, étaient plus monstrueuses les unes que les autres.
« –– Dites-moi, est-ce que vos citrouilles sont à vendre? demanda Ivan à l’homme.
–– Ouais mon gars, pour sûr ! répondit-il à la façon d’un Texan. La petite allumette qu’il avait dans la bouche, bougeant au son de voix. Mais seulement le prix que vous voulez me donner.
–– Ce qui veut dire que si je vous donne un penny, la citrouille sera quand même à moi ?
–– Exact, on ne me donne seulement que ce qu’on estime de mon travail. Mais attention car il y à un hic. On a que ce que l’on donne.
–– Et celle-ci c’est combien ? demanda Ivan en désignant celle à la couleur d’un noir ténébreux, que le sculpteur tenait dans sa main.
–– Je te l’ai déjà dit, tu me dois seulement la valeur que vaut selon toi mon travail.
–– Êtes-vous sénile ou quoi ? dit mon compagnon.
–– C’est un peu cela en effet, mais aussi parce que je ne travaille que par pur plaisir. »
Ivan lui tendit deux pièces de cinq cents et il lui prit la citrouille des mains.
« –– Allez c’est une blague, vous n’allez jamais me laisser partir avec vos deux sculptures.
–– Si je t’assure, tu dois payer le prix que demandera l’homme à l’entrée, mais pour moi tu donnes que ce que je mérite, mais on a que ce que l’on donne ! » Répéta le vieillard égnimatique, si bien qu’Ivan éclata de rire.
Là, payant le caissier à l’entrée, nous quittâmes le magasin avec chacun nos deux citrouilles sous le bras.
Ce ne fût qu’à ce moment qu’entendant une sorte de bruit de carillon dans ma tête, que mon cerveau fit tilt. En effet, je venais de comprendre l’erreur que nous venions de faire. Aussi je demandais aussi sec.
« –– Tu sais toi, ce qu’il à voulut dire par “on a que ce que l’on donne ? ”
–– Ah fichtre ! Tu ne vas pas croire ces sornettes tout de même.
–– Mais ce truc est mauvais, répliquais je hors de moi qu’il ne tiennes pas rigueur de mes remarques.
–– Mais qu'est-ce que tu as, la trouille ? Oh Christopher Fergusson a la trouille, na, na, na…
–– Ça suffit, non je n’ais pas peur, et arrête de faire le gamin, c’est pathétique »

2

Alors que le soir tombait, j’arrivais….
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





NOUVELLE A PLUSIEUR Empty
MessageSujet: Re: NOUVELLE A PLUSIEUR   NOUVELLE A PLUSIEUR Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
NOUVELLE A PLUSIEUR
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Grande nouvelle !
» Nouvelle : Conte de fées...histoire d'amour

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mark Storm - Space Adventure :: Coin papotage :: Notre histoire à nous ! ^^-
Sauter vers: